Le bon déroulement du premier match des JO 2024 à Lyon a donné un peu d'air à deux jours d'une cérémonie d'ouverture parisienne sous très haute surveillance.
Si la capitale des Gaules n'est concernée «que» par 11 matchs des tournois de football féminins et masculins, un important dispositif de sécurité y est déployé.
Autour du Grand stade de Décines - en banlieue est - où se joueront les rencontres, mais aussi dans les transports où la situation est dégradée en raison d’un mouvement de grève, et dans le centre-ville. «Nous avons 650 policiers et gendarmes mobilisés sur les JO sans compter ceux en poste pour les affaires courantes, indique l'entourage de la préfète, Fabienne Buccio, au Figaro.
On pourra facilement monter à plus de 1000».
Avec en plus un petit contingent de 40 policiers étrangers, dans le cadre de la coopération internationale à l'œuvre partout dans le pays pour ces JO.
Des militaires du dispositif Sentinelle sont également mobilisés. Brigades anti-drones Autour et dans le Grand stade de Décines, ce sont plus de 700 agents de sécurité privée qui sont déployés à chaque match sur les postes de stadiers et de fouilles aux entrées.
Un commissariat mobile a également été installé sur place, comme il l'avait été à Bellecour lors de la coupe du monde de rugby à l'automne dernier.
«Le but est de rapprocher la police du public et de faciliter les dépôts de plainte», indique la préfecture du Rhône.
Des brigades spécialisées dans la lutte anti-drone, la cybersécurité et le dressage de chiens renifleurs sont par ailleurs présentes. Côté secours, 200 sapeurs pompiers sont mobilisés.
Ils viennent des services départementaux de toute la région pour renforcer les 250 soldats du feu des casernes de la métropole de Lyon et du département du Rhône.
Mi-juillet, un entraînement en réalité virtuelle simulant une situation avec de nombreuses victimes avait permis de tester la réponse opérationnelle de la police et des secours.
Un autre exercice grandeur nature avait été orchestré au Grand stade courant avril. Grèves de pompiers et des transports Des pompiers qui sont toutefois toujours en grève à Lyon pour demander l’augmentation de la prime JO accordée comme contrepartie à la demande de limiter leurs congés cet été, à hauteur de celle de leurs collègues parisiens.
«Plus d'un tiers des sapeurs-pompiers sont en grève au SDMIS pour ce premier jour d'épreuves à Lyon», se félicitait mercredi le syndicat Sud, précisant que 155 soldats du feu avaient été réquisitionnés.
Les pompiers ont reçu le soutien officiel des quatre députés LFI de la métropole de Lyon. À lire aussiJO d’hiver 2030 : en Auvergne-Rhône-Alpes, les élus écologistes pointent la «précipitation» de la décision du CIO Un mouvement social touche également les transports, où les opérateurs du réseau de tramway demandent aussi un geste financier, supérieur à celui déjà consenti, au regard de leur mobilisation.
La ligne desservant le Grand stade est ainsi à l'arrêt depuis mercredi, obligeant les spectateurs qui souhaitent s'y rendre en transport en commun à se replier vers des bus navettes.
Si la capitale des Gaules n'est concernée «que» par 11 matchs des tournois de football féminins et masculins, un important dispositif de sécurité y est déployé.
Autour du Grand stade de Décines - en banlieue est - où se joueront les rencontres, mais aussi dans les transports où la situation est dégradée en raison d’un mouvement de grève, et dans le centre-ville. «Nous avons 650 policiers et gendarmes mobilisés sur les JO sans compter ceux en poste pour les affaires courantes, indique l'entourage de la préfète, Fabienne Buccio, au Figaro.
On pourra facilement monter à plus de 1000».
Avec en plus un petit contingent de 40 policiers étrangers, dans le cadre de la coopération internationale à l'œuvre partout dans le pays pour ces JO.
Des militaires du dispositif Sentinelle sont également mobilisés. Brigades anti-drones Autour et dans le Grand stade de Décines, ce sont plus de 700 agents de sécurité privée qui sont déployés à chaque match sur les postes de stadiers et de fouilles aux entrées.
Un commissariat mobile a également été installé sur place, comme il l'avait été à Bellecour lors de la coupe du monde de rugby à l'automne dernier.
«Le but est de rapprocher la police du public et de faciliter les dépôts de plainte», indique la préfecture du Rhône.
Des brigades spécialisées dans la lutte anti-drone, la cybersécurité et le dressage de chiens renifleurs sont par ailleurs présentes. Côté secours, 200 sapeurs pompiers sont mobilisés.
Ils viennent des services départementaux de toute la région pour renforcer les 250 soldats du feu des casernes de la métropole de Lyon et du département du Rhône.
Mi-juillet, un entraînement en réalité virtuelle simulant une situation avec de nombreuses victimes avait permis de tester la réponse opérationnelle de la police et des secours.
Un autre exercice grandeur nature avait été orchestré au Grand stade courant avril. Grèves de pompiers et des transports Des pompiers qui sont toutefois toujours en grève à Lyon pour demander l’augmentation de la prime JO accordée comme contrepartie à la demande de limiter leurs congés cet été, à hauteur de celle de leurs collègues parisiens.
«Plus d'un tiers des sapeurs-pompiers sont en grève au SDMIS pour ce premier jour d'épreuves à Lyon», se félicitait mercredi le syndicat Sud, précisant que 155 soldats du feu avaient été réquisitionnés.
Les pompiers ont reçu le soutien officiel des quatre députés LFI de la métropole de Lyon. À lire aussiJO d’hiver 2030 : en Auvergne-Rhône-Alpes, les élus écologistes pointent la «précipitation» de la décision du CIO Un mouvement social touche également les transports, où les opérateurs du réseau de tramway demandent aussi un geste financier, supérieur à celui déjà consenti, au regard de leur mobilisation.
La ligne desservant le Grand stade est ainsi à l'arrêt depuis mercredi, obligeant les spectateurs qui souhaitent s'y rendre en transport en commun à se replier vers des bus navettes.
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