Selon un article du quotidien italien Corriere della Sera, les fournisseurs et sous-traitants de Maserati auraient reçu un e-mail avec deux messages contradictoires.
D'un côté, il leur est demandé de réduire leurs coûts de 6% afin de rester compétitifs sur le marché de l'électrique.
D'un autre côté, il leur est demandé de cesser tout développement lié à la future berline Quattroporte, sans indication de date de reprise des travaux.
Cette situation représente un véritable coup dur pour les fournisseurs, qui avaient déjà été sollicités il y a un an pour réduire les coûts de 5 à 6%.
Officiellement, cette suspension est justifiée par une réévaluation de la stratégie de positionnement de Maserati, visant à éviter que la Quattroporte ne concurrence trop la future Alfa Romeo Giulia, prévue pour 2025 ou 2026 en version entièrement électrique et dotée d'une puissance d'environ 1 000 chevaux.
Cependant, cette explication pourrait être un prétexte.
Maserati n'est pas la seule marque à revoir sa stratégie et à retarder le lancement de modèles électriques.
Il est possible que les ventes de voitures électriques s'essoufflent plus rapidement que prévu, rendant imprudent d'investir massivement dans le développement d'un véhicule qui pourrait rester invendu.
Un exemple similaire se trouve chez Stellantis, le groupe propriétaire de Maserati, où la seconde génération de la Fiat 500 électrique, prévue pour 2027, a été repoussée à 2030.
D'un côté, il leur est demandé de réduire leurs coûts de 6% afin de rester compétitifs sur le marché de l'électrique.
D'un autre côté, il leur est demandé de cesser tout développement lié à la future berline Quattroporte, sans indication de date de reprise des travaux.
Cette situation représente un véritable coup dur pour les fournisseurs, qui avaient déjà été sollicités il y a un an pour réduire les coûts de 5 à 6%.
Officiellement, cette suspension est justifiée par une réévaluation de la stratégie de positionnement de Maserati, visant à éviter que la Quattroporte ne concurrence trop la future Alfa Romeo Giulia, prévue pour 2025 ou 2026 en version entièrement électrique et dotée d'une puissance d'environ 1 000 chevaux.
Cependant, cette explication pourrait être un prétexte.
Maserati n'est pas la seule marque à revoir sa stratégie et à retarder le lancement de modèles électriques.
Il est possible que les ventes de voitures électriques s'essoufflent plus rapidement que prévu, rendant imprudent d'investir massivement dans le développement d'un véhicule qui pourrait rester invendu.
Un exemple similaire se trouve chez Stellantis, le groupe propriétaire de Maserati, où la seconde génération de la Fiat 500 électrique, prévue pour 2027, a été repoussée à 2030.
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