La tempête Ciaran va frapper le nord-ouest de la France à partir de ce mercredi 1er novembre jusqu'à jeudi matin, avec des rafales de vent pouvant atteindre les 170 km/h, des vagues importantes sur les côtes et une élévation du niveau de la mer.
Les habitants des côtes se préparent en se barricadant et la SNCF a annulé certains trains par précaution.
Selon Guillaume Séchet, météorologiste et fondateur du site Météo-villes, il s'agira d'une tempête mémorable pour la Bretagne.
La dépression, issue des États-Unis, s'est déplacée vers l'Europe en quelques jours grâce au courant-jet.
La pression au centre de la dépression va chuter rapidement, provoquant ainsi des rafales de vent.
On parle d'une "bombe météorologique", un creusement rapide de la dépression avec une baisse de pression d'au moins 24 hectopascals en 24 heures.
Le Finistère et le Cotentin seront les régions les plus touchées, mais le vent soufflera également à l'intérieur des terres.
Des vagues de 8 à 10 mètres de haut sont prévues au large du Finistère et de 6 à 8 mètres plus au sud de la côte Atlantique, ainsi qu'un risque de surcote lié à la pression et au vent.
Bien que ce soit une "tempête majeure", elle ne devrait pas atteindre le niveau de sévérité des tempêtes historiques de 1999 qui ont touché tout le pays.
Le système de vigilance météo a été mis en place après ces événements pour prévenir la population en amont d'une tempête dangereuse.
Guillaume Séchet rappelle que les quatre cinquièmes de la France ne devraient pas être concernés par cette tempête, mais il prévient qu'une nouvelle dépression est attendue samedi et qu'il faudra la surveiller.
Les habitants des côtes se préparent en se barricadant et la SNCF a annulé certains trains par précaution.
Selon Guillaume Séchet, météorologiste et fondateur du site Météo-villes, il s'agira d'une tempête mémorable pour la Bretagne.
La dépression, issue des États-Unis, s'est déplacée vers l'Europe en quelques jours grâce au courant-jet.
La pression au centre de la dépression va chuter rapidement, provoquant ainsi des rafales de vent.
On parle d'une "bombe météorologique", un creusement rapide de la dépression avec une baisse de pression d'au moins 24 hectopascals en 24 heures.
Le Finistère et le Cotentin seront les régions les plus touchées, mais le vent soufflera également à l'intérieur des terres.
Des vagues de 8 à 10 mètres de haut sont prévues au large du Finistère et de 6 à 8 mètres plus au sud de la côte Atlantique, ainsi qu'un risque de surcote lié à la pression et au vent.
Bien que ce soit une "tempête majeure", elle ne devrait pas atteindre le niveau de sévérité des tempêtes historiques de 1999 qui ont touché tout le pays.
Le système de vigilance météo a été mis en place après ces événements pour prévenir la population en amont d'une tempête dangereuse.
Guillaume Séchet rappelle que les quatre cinquièmes de la France ne devraient pas être concernés par cette tempête, mais il prévient qu'une nouvelle dépression est attendue samedi et qu'il faudra la surveiller.
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