Une nouvelle étape.
Ce samedi, le rapport médico-légal de la femme ayant porté plainte pour viol aggravé en réunion contre Oscar Jégou et Hugo Auradou était présenté au parquet de Mendoza.
Et celui-ci fait état d'une « quinzaine de blessures » selon des informations du Parisien.
La femme de 39 ans avait déposé plainte le 8 juillet.
Dans la foulée, les deux jeunes rugbymen français avaient été arrêtés à Buenos Aires puis transféré à Mendoza, lieu de l'enquête.
Dans un premier temps mis en détention, Auradou et Jégou avaient été ensuite placés en détention surveillée. À lire aussiAffaire Jégou-Auradou : coups de poings, «enfermée», «physiquement dévastée»...
le récit glaçant de l’avocate de la plaignante Pour en revenir au rapport médico-légal, ce dernier fait état de « lésions dans les parties intimes, de divers hématomes au menton, sur la paupière gauche, les deux jambes, les fesses, l'entrejambe, la poitrine et le thorax » ainsi que « des éraflures au niveau de l'omoplate ».
Des constatations qui ne jouent, bien entendu, pas en faveur de la version des deux rugbymen. Selon Natacha Romero, l'avocate de la plaignante, la femme de 39 ans, mère de deux enfants, va mieux après deux hospitalisations en une dizaine de jours.
En revanche, l'avocat des Français s'est lui refusé à tout commentaire, surtout après la publication d'une photo avec ses deux clients quelques jours auparavant qui avait fait grandement polémique. À lire aussiAffaire Jégou-Auradou : «Une provocation», la photo des deux joueurs qui choque la plaignante Mis en examen pour viol aggravé en réunion, les deux joueurs de 20 et 21 ans ont toujours reconnu une relation consentie avec la femme de 39 ans mais se déclarent innocents des faits reprochés.
Pour rappel, ils risquent une peine de 8 à 20 ans de prison.
Ce samedi, le rapport médico-légal de la femme ayant porté plainte pour viol aggravé en réunion contre Oscar Jégou et Hugo Auradou était présenté au parquet de Mendoza.
Et celui-ci fait état d'une « quinzaine de blessures » selon des informations du Parisien.
La femme de 39 ans avait déposé plainte le 8 juillet.
Dans la foulée, les deux jeunes rugbymen français avaient été arrêtés à Buenos Aires puis transféré à Mendoza, lieu de l'enquête.
Dans un premier temps mis en détention, Auradou et Jégou avaient été ensuite placés en détention surveillée. À lire aussiAffaire Jégou-Auradou : coups de poings, «enfermée», «physiquement dévastée»...
le récit glaçant de l’avocate de la plaignante Pour en revenir au rapport médico-légal, ce dernier fait état de « lésions dans les parties intimes, de divers hématomes au menton, sur la paupière gauche, les deux jambes, les fesses, l'entrejambe, la poitrine et le thorax » ainsi que « des éraflures au niveau de l'omoplate ».
Des constatations qui ne jouent, bien entendu, pas en faveur de la version des deux rugbymen. Selon Natacha Romero, l'avocate de la plaignante, la femme de 39 ans, mère de deux enfants, va mieux après deux hospitalisations en une dizaine de jours.
En revanche, l'avocat des Français s'est lui refusé à tout commentaire, surtout après la publication d'une photo avec ses deux clients quelques jours auparavant qui avait fait grandement polémique. À lire aussiAffaire Jégou-Auradou : «Une provocation», la photo des deux joueurs qui choque la plaignante Mis en examen pour viol aggravé en réunion, les deux joueurs de 20 et 21 ans ont toujours reconnu une relation consentie avec la femme de 39 ans mais se déclarent innocents des faits reprochés.
Pour rappel, ils risquent une peine de 8 à 20 ans de prison.
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