La presse italienne rapporte que le bureau du procureur de Gênes a ouvert une enquête suite à la perte de quatre semi-remorques, dont l'un contenait de l'acide sulfurique, par un cargo entre l'Italie et la Corse début décembre.
Le cargo, nommé Eurocargo Malta et appartenant à l'armateur italien Grimaldi, était en route de Malte vers Gênes lorsqu'il a été pris dans une tempête en mer et a perdu une partie de son chargement.
Le commandant du navire a alerté les garde-côtes italiens par radio.
Malgré les survols de la zone effectués immédiatement après l'incident et les jours suivants, aucune pollution n'a été repérée en surface.
Le procureur de Gênes, Pablo d'Ovidio, a déclaré que l'enquête devra déterminer la profondeur à laquelle se trouve la cargaison, si elle peut être récupérée et si elle représente un danger pour l'environnement.
Les autorités italiennes affirment que les semi-remorques ont coulé dans le sanctuaire Pelagos, une zone marine protégée reliant la France, l'Italie et Monaco, tandis que les autorités françaises parlent d'un échouage à proximité de la zone.
Le député corse Jean-Félix Acquaviva regrette les éléments contradictoires sur ce point.
Le cargo, nommé Eurocargo Malta et appartenant à l'armateur italien Grimaldi, était en route de Malte vers Gênes lorsqu'il a été pris dans une tempête en mer et a perdu une partie de son chargement.
Le commandant du navire a alerté les garde-côtes italiens par radio.
Malgré les survols de la zone effectués immédiatement après l'incident et les jours suivants, aucune pollution n'a été repérée en surface.
Le procureur de Gênes, Pablo d'Ovidio, a déclaré que l'enquête devra déterminer la profondeur à laquelle se trouve la cargaison, si elle peut être récupérée et si elle représente un danger pour l'environnement.
Les autorités italiennes affirment que les semi-remorques ont coulé dans le sanctuaire Pelagos, une zone marine protégée reliant la France, l'Italie et Monaco, tandis que les autorités françaises parlent d'un échouage à proximité de la zone.
Le député corse Jean-Félix Acquaviva regrette les éléments contradictoires sur ce point.
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