Les supporters lyonnais traversent une saison difficile tant sur le plan du football avec l'OL que sur celui du rugby avec le LOU.
Alors que les footballeurs ont réussi à sortir de la zone de relégation en Ligue 1, les rugbymen se dirigent dangereusement vers le bas du classement en Top 14.
Ce week-end, ils ont subi une lourde défaite sur le terrain de Bordeaux-Bègles, en encaissant un sévère 46-10, avec six essais encaissés.
Il s'agit de leur douzième défaite consécutive à Bordeaux depuis 2008.
Le manager rhodanien Fabien Gengenbacher a admis : "Notre objectif était de capitaliser sur notre victoire en Champions Cup contre les Bulls sud-africains (29-28, NDLR).
Nous avons pris une dérouillée". Classé seulement douzième au classement, le LOU est loin de ses ambitions initiales.
Après avoir atteint les demi-finales du Top 14 en 2018 et 2019, le club lyonnais connaît une chute vertigineuse avec une 9e place en 2021, puis en 2022, et une mauvaise saison en cours.
Les Rhodaniens n'ont remporté que quatre de leurs douze matchs cette saison, dont seulement trois en championnat.
Le carton rouge infligé à Romain Taofifenua a précipité la chute d'une équipe en manque de confiance et de repères, même si elle avait réussi à prendre l'avantage au score grâce à un bel essai de Vincent Rattez.
Fabien Gengenbacher a confirmé : "Après le carton rouge, nous avons complètement sombré.
Nous devons rester solidaires et regarder vers l'avant même si nous sommes dans une situation difficile". Le technicien, arrivé cette saison en remplacement de Xavier Garbajosa, a ajouté sur cette fébrilité récurrente : "Ce sont des problèmes que nous avons identifiés et sur lesquels nous avons travaillé.
Mais nous devons être plus résistants.
Ce n'est pas parce que nous sommes à quatorze que nous ne pouvons pas sécuriser un ruck.
Il n'est pas normal que le demi de mêlée doive donner des coups de pied pour récupérer un ballon..." Avec sept défaites en dix matchs de Top 14, le LOU n'avait pas connu un tel bilan noir à ce stade de la saison depuis sa première montée en élite en 2011.
Le manager lyonnais l'admet : "Maintenant, nous devons accepter notre classement, parler de maintien, parler de matchs cruciaux.
Nous avons trois jours pour l'accepter". La réception de Montpellier s'annonce déjà capitale.
Surtout que le MHR est sur une dynamique totalement opposée : après un début de saison désastreux, les Héraultais - désormais entraînés par Bernard Laporte et le nouveau staff de Patrice Collazo - retrouvent enfin le chemin de la victoire, avec deux succès en Champions Cup (Newcastle et Ospreys), puis un autre face à Bayonne.
Sous pression, Lyon, touché par plusieurs absences sur blessures, notamment celle de Léo Berdeu, avance dans l'incertitude.
Le début de l'année s'annonce particulièrement difficile avec un déplacement le 6 janvier sur le terrain du Stade Toulousain.
L'opération maintien a bel et bien commencé pour le LOU.
Alors que les footballeurs ont réussi à sortir de la zone de relégation en Ligue 1, les rugbymen se dirigent dangereusement vers le bas du classement en Top 14.
Ce week-end, ils ont subi une lourde défaite sur le terrain de Bordeaux-Bègles, en encaissant un sévère 46-10, avec six essais encaissés.
Il s'agit de leur douzième défaite consécutive à Bordeaux depuis 2008.
Le manager rhodanien Fabien Gengenbacher a admis : "Notre objectif était de capitaliser sur notre victoire en Champions Cup contre les Bulls sud-africains (29-28, NDLR).
Nous avons pris une dérouillée". Classé seulement douzième au classement, le LOU est loin de ses ambitions initiales.
Après avoir atteint les demi-finales du Top 14 en 2018 et 2019, le club lyonnais connaît une chute vertigineuse avec une 9e place en 2021, puis en 2022, et une mauvaise saison en cours.
Les Rhodaniens n'ont remporté que quatre de leurs douze matchs cette saison, dont seulement trois en championnat.
Le carton rouge infligé à Romain Taofifenua a précipité la chute d'une équipe en manque de confiance et de repères, même si elle avait réussi à prendre l'avantage au score grâce à un bel essai de Vincent Rattez.
Fabien Gengenbacher a confirmé : "Après le carton rouge, nous avons complètement sombré.
Nous devons rester solidaires et regarder vers l'avant même si nous sommes dans une situation difficile". Le technicien, arrivé cette saison en remplacement de Xavier Garbajosa, a ajouté sur cette fébrilité récurrente : "Ce sont des problèmes que nous avons identifiés et sur lesquels nous avons travaillé.
Mais nous devons être plus résistants.
Ce n'est pas parce que nous sommes à quatorze que nous ne pouvons pas sécuriser un ruck.
Il n'est pas normal que le demi de mêlée doive donner des coups de pied pour récupérer un ballon..." Avec sept défaites en dix matchs de Top 14, le LOU n'avait pas connu un tel bilan noir à ce stade de la saison depuis sa première montée en élite en 2011.
Le manager lyonnais l'admet : "Maintenant, nous devons accepter notre classement, parler de maintien, parler de matchs cruciaux.
Nous avons trois jours pour l'accepter". La réception de Montpellier s'annonce déjà capitale.
Surtout que le MHR est sur une dynamique totalement opposée : après un début de saison désastreux, les Héraultais - désormais entraînés par Bernard Laporte et le nouveau staff de Patrice Collazo - retrouvent enfin le chemin de la victoire, avec deux succès en Champions Cup (Newcastle et Ospreys), puis un autre face à Bayonne.
Sous pression, Lyon, touché par plusieurs absences sur blessures, notamment celle de Léo Berdeu, avance dans l'incertitude.
Le début de l'année s'annonce particulièrement difficile avec un déplacement le 6 janvier sur le terrain du Stade Toulousain.
L'opération maintien a bel et bien commencé pour le LOU.
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