C'est un événement choquant dans le monde du football italien.
Le gouvernement de coalition de droite et d'extrême droite dirigé par Giorgia Meloni a décidé de mettre fin aux avantages fiscaux dont bénéficiaient les joueurs étrangers qui évoluent dans le championnat italien.
Le "décret de croissance", introduit en Serie A en 2019, sera abrogé le 1er janvier 2024.
Cette décision pourrait avoir de sérieuses répercussions sur le paysage de la prestigieuse Serie A, qui est l'élite du football italien. Le "décret de croissance" était une mesure fiscale avantageuse qui permettait aux joueurs étrangers de ne déclarer que 50% de leurs revenus au cours des cinq premières années après leur arrivée en Italie.
Cette mesure était précieuse pour les clubs italiens, notamment les trois "grands", l'Inter, l'AC Milan et la Juventus Turin, car elle leur permettait d'être compétitifs sur le marché des transferts et de négocier plus facilement des contrats avec des joueurs étrangers. C'est grâce à ce "décret de croissance" que le Calcio a réussi à attirer certains grands noms, dont des internationaux français tels que Adrien Rabiot, Paul Pogba, Olivier Giroud, Marcus Thuram, Benjamin Pavard et Mike Maignan.
Cette période, qui a vu les clubs italiens revenir au premier plan en Europe, avec notamment la finale de la dernière Ligue des champions disputée par l'Inter Milan, semble désormais terminée. Giorgia Meloni favorise la préférence nationale en prenant cette décision.
Les clubs italiens devront désormais investir davantage dans les joueurs italiens, qui seront soumis aux mêmes règles fiscales que les étrangers.
Le gouvernement de Giorgia Meloni souhaite ainsi promouvoir et développer la préférence nationale, suite aux échecs de l'équipe d'Italie pour se qualifier à deux reprises pour la Coupe du monde (2018 et 2022), malgré leur victoire à l'Euro 2021. Les clubs de Serie A ont déjà fait part de leur surprise et de leurs inquiétudes, craignant que le football italien devienne moins attractif sur le plan économique et médiatique.
Ils ont également peur que cela ait un impact sur leur compétitivité sur le terrain, notamment dans les compétitions européennes.
Le gouvernement de coalition de droite et d'extrême droite dirigé par Giorgia Meloni a décidé de mettre fin aux avantages fiscaux dont bénéficiaient les joueurs étrangers qui évoluent dans le championnat italien.
Le "décret de croissance", introduit en Serie A en 2019, sera abrogé le 1er janvier 2024.
Cette décision pourrait avoir de sérieuses répercussions sur le paysage de la prestigieuse Serie A, qui est l'élite du football italien. Le "décret de croissance" était une mesure fiscale avantageuse qui permettait aux joueurs étrangers de ne déclarer que 50% de leurs revenus au cours des cinq premières années après leur arrivée en Italie.
Cette mesure était précieuse pour les clubs italiens, notamment les trois "grands", l'Inter, l'AC Milan et la Juventus Turin, car elle leur permettait d'être compétitifs sur le marché des transferts et de négocier plus facilement des contrats avec des joueurs étrangers. C'est grâce à ce "décret de croissance" que le Calcio a réussi à attirer certains grands noms, dont des internationaux français tels que Adrien Rabiot, Paul Pogba, Olivier Giroud, Marcus Thuram, Benjamin Pavard et Mike Maignan.
Cette période, qui a vu les clubs italiens revenir au premier plan en Europe, avec notamment la finale de la dernière Ligue des champions disputée par l'Inter Milan, semble désormais terminée. Giorgia Meloni favorise la préférence nationale en prenant cette décision.
Les clubs italiens devront désormais investir davantage dans les joueurs italiens, qui seront soumis aux mêmes règles fiscales que les étrangers.
Le gouvernement de Giorgia Meloni souhaite ainsi promouvoir et développer la préférence nationale, suite aux échecs de l'équipe d'Italie pour se qualifier à deux reprises pour la Coupe du monde (2018 et 2022), malgré leur victoire à l'Euro 2021. Les clubs de Serie A ont déjà fait part de leur surprise et de leurs inquiétudes, craignant que le football italien devienne moins attractif sur le plan économique et médiatique.
Ils ont également peur que cela ait un impact sur leur compétitivité sur le terrain, notamment dans les compétitions européennes.
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