Lors d'une nouvelle réunion de négociation le jeudi 21 décembre, la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) a proposé une somme de 100 millions d'euros.
Il s'agit d'une première enveloppe annuelle destinée à répondre aux nombreuses attentes des médecins, qui ont également été touchés par l'inflation qui affecte leur pouvoir d'achat, et à renforcer la présence de la Sécurité sociale dans les déserts médicaux.
Alors que la rédaction de la prochaine convention médicale, qui fixera les principes d'organisation de la profession et les règles financières pour les cinq prochaines années, doit être achevée d'ici février, cette proposition est perçue comme un geste fort. Le directeur général de l'Assurance maladie, Thomas Fatôme, propose notamment de valoriser la prise en charge des patients âgés ou atteints d'affections de longue durée qui nécessitent une attention particulière.
Il en va de même pour les patients très précaires ou en situation de handicap.
C'est pour ce forfait spécifique que le directeur de l'Assurance maladie propose une enveloppe de revalorisation de 100 millions d'euros par an, soit en moyenne 2 000 euros par médecin. Les médecins réclament une revalorisation de la consultation en général.
En moyenne, un médecin généraliste libéral gagne 16 000 euros par an grâce au forfait médecin traitant, qui s'ajoute à la rémunération des consultations.
La Sécurité sociale admet que ce forfait représente un peu moins de 10% de la rémunération d'un généraliste, d'où l'idée de revaloriser cette partie. Cependant, les médecins considèrent que cela n'est qu'une première étape.
Leurs principales attentes concernent une revalorisation de l'ensemble des tarifs de base (le prix des consultations elles-mêmes), mais ce sujet ne sera abordé qu'en janvier.
Avant cette prochaine réunion, la CNAM souhaite également discuter de plusieurs autres thèmes tels que la qualité des soins, le travail en équipe ou les spécialités médico-techniques.
Pour l'instant, chaque partie est engagée dans les discussions et observe l'autre.
Rien n'est encore gagné et la pression reste forte.
Il s'agit d'une première enveloppe annuelle destinée à répondre aux nombreuses attentes des médecins, qui ont également été touchés par l'inflation qui affecte leur pouvoir d'achat, et à renforcer la présence de la Sécurité sociale dans les déserts médicaux.
Alors que la rédaction de la prochaine convention médicale, qui fixera les principes d'organisation de la profession et les règles financières pour les cinq prochaines années, doit être achevée d'ici février, cette proposition est perçue comme un geste fort. Le directeur général de l'Assurance maladie, Thomas Fatôme, propose notamment de valoriser la prise en charge des patients âgés ou atteints d'affections de longue durée qui nécessitent une attention particulière.
Il en va de même pour les patients très précaires ou en situation de handicap.
C'est pour ce forfait spécifique que le directeur de l'Assurance maladie propose une enveloppe de revalorisation de 100 millions d'euros par an, soit en moyenne 2 000 euros par médecin. Les médecins réclament une revalorisation de la consultation en général.
En moyenne, un médecin généraliste libéral gagne 16 000 euros par an grâce au forfait médecin traitant, qui s'ajoute à la rémunération des consultations.
La Sécurité sociale admet que ce forfait représente un peu moins de 10% de la rémunération d'un généraliste, d'où l'idée de revaloriser cette partie. Cependant, les médecins considèrent que cela n'est qu'une première étape.
Leurs principales attentes concernent une revalorisation de l'ensemble des tarifs de base (le prix des consultations elles-mêmes), mais ce sujet ne sera abordé qu'en janvier.
Avant cette prochaine réunion, la CNAM souhaite également discuter de plusieurs autres thèmes tels que la qualité des soins, le travail en équipe ou les spécialités médico-techniques.
Pour l'instant, chaque partie est engagée dans les discussions et observe l'autre.
Rien n'est encore gagné et la pression reste forte.
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