Quel sera finalement le destin d'Orange Bank, la banque en ligne de l'opérateur télécoms Orange ? Après avoir tenté sans succès de vendre cette filiale lancée avec grand enthousiasme à la fin de l'année 2017, Orange a annoncé fin juin qu'il mettait fin à son aventure dans le secteur bancaire.
Le groupe est entré en négociations exclusives avec BNP Paribas pour lui céder son portefeuille de clients en France et en Espagne.
L'entité sera ensuite gérée en extinction.
La néobanque, qui compte un total de 2 millions de clients, n'a jamais atteint ses objectifs et a accumulé plus d'un milliard de pertes d'exploitation au cours des cinq dernières années. Cependant, le destin d'Orange Bank pourrait à nouveau être remis en question.
Conformément à la "loi Florange" en cas de fermeture d'une entreprise, Orange a cherché un repreneur pour sa filiale.
Mercredi, lors d'une réunion extraordinaire du comité social et économique (CSE), les dirigeants d'Orange Bank ont annoncé avoir reçu une offre ferme de rachat de la part du fonds d'investissement américain Ripplewood.
Ce dernier se dit prêt à reprendre les activités d'Orange Bank ainsi que les 700 employés, mais il ne s'engage à maintenir l'ensemble du personnel que pendant deux ans. La direction étudie l'offre avec attention et examine en particulier la solidité du plan de reprise et de financement, ainsi que les garanties en matière de maintien de l'emploi, selon Orange dans un communiqué.
De leur côté, les représentants du personnel attendent davantage de clarifications avant de se prononcer.
Ils souhaitent que le Conseil d'administration de la banque prenne le temps nécessaire pour étudier cette offre en profondeur.
Dans le cas où cette offre ne fournirait pas, à ce stade, toutes les garanties attendues, le CSE demande à la direction générale d'engager des négociations honnêtes et sérieuses avec Ripplewood afin d'obtenir des garanties pour la pérennité de l'activité et des emplois.
Prudents, les élus du personnel souhaitent également rencontrer les représentants du fonds d'investissement.
Le groupe est entré en négociations exclusives avec BNP Paribas pour lui céder son portefeuille de clients en France et en Espagne.
L'entité sera ensuite gérée en extinction.
La néobanque, qui compte un total de 2 millions de clients, n'a jamais atteint ses objectifs et a accumulé plus d'un milliard de pertes d'exploitation au cours des cinq dernières années. Cependant, le destin d'Orange Bank pourrait à nouveau être remis en question.
Conformément à la "loi Florange" en cas de fermeture d'une entreprise, Orange a cherché un repreneur pour sa filiale.
Mercredi, lors d'une réunion extraordinaire du comité social et économique (CSE), les dirigeants d'Orange Bank ont annoncé avoir reçu une offre ferme de rachat de la part du fonds d'investissement américain Ripplewood.
Ce dernier se dit prêt à reprendre les activités d'Orange Bank ainsi que les 700 employés, mais il ne s'engage à maintenir l'ensemble du personnel que pendant deux ans. La direction étudie l'offre avec attention et examine en particulier la solidité du plan de reprise et de financement, ainsi que les garanties en matière de maintien de l'emploi, selon Orange dans un communiqué.
De leur côté, les représentants du personnel attendent davantage de clarifications avant de se prononcer.
Ils souhaitent que le Conseil d'administration de la banque prenne le temps nécessaire pour étudier cette offre en profondeur.
Dans le cas où cette offre ne fournirait pas, à ce stade, toutes les garanties attendues, le CSE demande à la direction générale d'engager des négociations honnêtes et sérieuses avec Ripplewood afin d'obtenir des garanties pour la pérennité de l'activité et des emplois.
Prudents, les élus du personnel souhaitent également rencontrer les représentants du fonds d'investissement.
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