La situation concernant l'EPR de Flamanville 3 semble enfin se débloquer.
Depuis le début de sa construction en 2007, le projet a été confronté à de nombreux problèmes, tels que des fissures et des soudures ne supportant pas les températures extrêmes.
Le démarrage de la centrale était prévu pour 2012, mais les retards ont fait exploser le budget initial, qui atteint désormais près de 13 milliards d'euros, soit près de quatre fois le devis initial. Cependant, selon EDF, le propriétaire de la centrale, les essais de sécurité ont été concluants et le chargement du combustible pourra bientôt commencer, en vue de la mise en service progressive du réacteur nucléaire EPR. Cependant, avant que la production d'énergie nucléaire ne puisse commencer, Flamanville devra passer une série de tests à différents niveaux de puissance, avec des interruptions et des arrêts.
Par conséquent, la centrale n'aura pas d'impact significatif sur la production globale d'électricité en France dans un avenir proche, et EDF ne l'a pas prise en compte dans ses prévisions pour les deux prochaines années. Selon les déclarations d'EDF, en raison de l'âge de ses installations, la production d'énergie ne se rétablira pas avant 2025-2026.
Cependant, le groupe fait tout son possible pour résoudre les problèmes de corrosion sur certains réacteurs, sous la pression du gouvernement. Malgré cela, il n'y a pas lieu de s'inquiéter pour cet hiver, car la disponibilité du parc nucléaire français s'est considérablement améliorée et est désormais équivalente à celle d'avant les problèmes de fissures.
De plus, selon le PDG d'EDF, Luc Rémont, le niveau de remplissage des réserves hydroélectriques est supérieur à la moyenne.
Avec les températures clémentes actuelles et les efforts d'économie d'énergie des Français, la consommation électrique est faible.
Tous ces éléments nous permettront donc de passer l'hiver paisiblement.
Depuis le début de sa construction en 2007, le projet a été confronté à de nombreux problèmes, tels que des fissures et des soudures ne supportant pas les températures extrêmes.
Le démarrage de la centrale était prévu pour 2012, mais les retards ont fait exploser le budget initial, qui atteint désormais près de 13 milliards d'euros, soit près de quatre fois le devis initial. Cependant, selon EDF, le propriétaire de la centrale, les essais de sécurité ont été concluants et le chargement du combustible pourra bientôt commencer, en vue de la mise en service progressive du réacteur nucléaire EPR. Cependant, avant que la production d'énergie nucléaire ne puisse commencer, Flamanville devra passer une série de tests à différents niveaux de puissance, avec des interruptions et des arrêts.
Par conséquent, la centrale n'aura pas d'impact significatif sur la production globale d'électricité en France dans un avenir proche, et EDF ne l'a pas prise en compte dans ses prévisions pour les deux prochaines années. Selon les déclarations d'EDF, en raison de l'âge de ses installations, la production d'énergie ne se rétablira pas avant 2025-2026.
Cependant, le groupe fait tout son possible pour résoudre les problèmes de corrosion sur certains réacteurs, sous la pression du gouvernement. Malgré cela, il n'y a pas lieu de s'inquiéter pour cet hiver, car la disponibilité du parc nucléaire français s'est considérablement améliorée et est désormais équivalente à celle d'avant les problèmes de fissures.
De plus, selon le PDG d'EDF, Luc Rémont, le niveau de remplissage des réserves hydroélectriques est supérieur à la moyenne.
Avec les températures clémentes actuelles et les efforts d'économie d'énergie des Français, la consommation électrique est faible.
Tous ces éléments nous permettront donc de passer l'hiver paisiblement.
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