Un scandale appelé "Cookiegate" éclate aux États-Unis, accusant la marque Oreo d'avoir réduit la quantité de crème entre ses deux biscuits emblématiques.
Cette décision ne passe pas au milieu de l'augmentation des prix.
Un consommateur a exprimé ses doutes sur Internet il y a quelques semaines concernant une diminution de la crème dans les célèbres biscuits noirs et blancs.
Les médias sociaux se sont immédiatement emparés du sujet, de nombreux clients comparant les anciennes et les nouvelles boîtes d'Oreo et constatant une baisse de la quantité de crème ou du poids total du produit.
Certains politiciens se sont même impliqués dans l'affaire, comme un sénateur américain qui a confirmé un changement dans la recette.
Les accusations de "shrinkflation", qui consistent à réduire la quantité d'un produit sans changer son prix ni son emballage, ne se sont pas fait attendre.
Oreo affirme de son côté qu'il n'a pas modifié la proportion de crème dans les biscuits, mais cette précision n'a pas convaincu.
Pour le fondateur de la société Impact Pricing, Mark Stiving, le fait que cela devienne un scandale montre à quel point les consommateurs ne croient plus ce que disent les grandes marques.
Jusqu'à présent, ce scandale n'a pas semblé affecter les ventes de biscuits de la société Mondelez, qui produit les Oreos.
Aux États-Unis, 20 milliards d'Oreos sont vendus chaque année, ce qui fait du pays leur plus grand marché.
Cette décision ne passe pas au milieu de l'augmentation des prix.
Un consommateur a exprimé ses doutes sur Internet il y a quelques semaines concernant une diminution de la crème dans les célèbres biscuits noirs et blancs.
Les médias sociaux se sont immédiatement emparés du sujet, de nombreux clients comparant les anciennes et les nouvelles boîtes d'Oreo et constatant une baisse de la quantité de crème ou du poids total du produit.
Certains politiciens se sont même impliqués dans l'affaire, comme un sénateur américain qui a confirmé un changement dans la recette.
Les accusations de "shrinkflation", qui consistent à réduire la quantité d'un produit sans changer son prix ni son emballage, ne se sont pas fait attendre.
Oreo affirme de son côté qu'il n'a pas modifié la proportion de crème dans les biscuits, mais cette précision n'a pas convaincu.
Pour le fondateur de la société Impact Pricing, Mark Stiving, le fait que cela devienne un scandale montre à quel point les consommateurs ne croient plus ce que disent les grandes marques.
Jusqu'à présent, ce scandale n'a pas semblé affecter les ventes de biscuits de la société Mondelez, qui produit les Oreos.
Aux États-Unis, 20 milliards d'Oreos sont vendus chaque année, ce qui fait du pays leur plus grand marché.
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