Le procureur fédéral de New York a décidé de ne pas engager un second procès contre Sam Bankman-Fried, ancien magnat des cryptomonnaies, pour financement politique illégal et corruption.
Bankman-Fried a été reconnu coupable lors du premier procès.
Il est fondateur et directeur de la plateforme d'échanges de cryptomonnaies FTX.
Il a été reconnu coupable début novembre de sept chefs d'accusation pour avoir détourné plusieurs milliards de dollars de dépôts de clients sans autorisation.
Il risque une peine maximale de 110 ans de prison.
Sa peine sera prononcée par le juge fédéral Lewis Kaplan le 28 mars. Le second procès devait initialement commencer le 11 mars 2024 et couvrir cinq chefs d'accusation que le procureur fédéral Damian Williams avait choisi de ne pas inclure lors des premiers débats.
Les principaux chefs d'accusation sont l'association de malfaiteurs en vue de corrompre un agent étranger et d'effectuer des donations à des hommes politiques.
Ils ont été écartés du premier procès car ils ne faisaient pas partie de l'accord passé avec les autorités bahaméennes pour extrader Sam Bankman-Fried en décembre 2022. Le procureur Williams a justifié le renoncement à un second procès en indiquant que les Bahamas n'avaient pas encore donné leur accord et que les autorités américaines cherchaient une résolution rapide de l'affaire Bankman-Fried.
Un nouveau procès risquerait en effet de retarder la restitution des fonds saisis aux victimes.
Williams a également rappelé que les accusations de corruption présumée et de contributions illégales à des campagnes politiques avaient été évoquées lors du premier procès et pourraient être prises en compte pour déterminer la peine. Sam Bankman-Fried était accusé d'avoir autorisé le versement d'environ 150 millions de dollars de pots-de-vin à des responsables chinois pour débloquer les avoirs de FTX en Chine.
Il lui était également reproché d'avoir utilisé l'argent de clients de FTX pour faire des dons à des candidats politiques, notamment Joe Biden.
Bankman-Fried a été reconnu coupable lors du premier procès.
Il est fondateur et directeur de la plateforme d'échanges de cryptomonnaies FTX.
Il a été reconnu coupable début novembre de sept chefs d'accusation pour avoir détourné plusieurs milliards de dollars de dépôts de clients sans autorisation.
Il risque une peine maximale de 110 ans de prison.
Sa peine sera prononcée par le juge fédéral Lewis Kaplan le 28 mars. Le second procès devait initialement commencer le 11 mars 2024 et couvrir cinq chefs d'accusation que le procureur fédéral Damian Williams avait choisi de ne pas inclure lors des premiers débats.
Les principaux chefs d'accusation sont l'association de malfaiteurs en vue de corrompre un agent étranger et d'effectuer des donations à des hommes politiques.
Ils ont été écartés du premier procès car ils ne faisaient pas partie de l'accord passé avec les autorités bahaméennes pour extrader Sam Bankman-Fried en décembre 2022. Le procureur Williams a justifié le renoncement à un second procès en indiquant que les Bahamas n'avaient pas encore donné leur accord et que les autorités américaines cherchaient une résolution rapide de l'affaire Bankman-Fried.
Un nouveau procès risquerait en effet de retarder la restitution des fonds saisis aux victimes.
Williams a également rappelé que les accusations de corruption présumée et de contributions illégales à des campagnes politiques avaient été évoquées lors du premier procès et pourraient être prises en compte pour déterminer la peine. Sam Bankman-Fried était accusé d'avoir autorisé le versement d'environ 150 millions de dollars de pots-de-vin à des responsables chinois pour débloquer les avoirs de FTX en Chine.
Il lui était également reproché d'avoir utilisé l'argent de clients de FTX pour faire des dons à des candidats politiques, notamment Joe Biden.
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