Dans la scène d'ouverture de la série "Unité 8200", le protagoniste, interprété par Patrick Bruel, arrive à Paris en provenance d'Israël.
La scène se déroule à l'aéroport Charles-de-Gaulle.
Bruel incarne un ancien chef de cette unité d'espionnage israélienne de pointe.
Il se rend à Paris pour donner une conférence sur un logiciel qu'il a conçu et pour retrouver sa fille.
Cependant, un meurtre et un enlèvement le ramènent sur le terrain.
Il dispose de 72 heures pour éviter une catastrophe.
C'est ce projet qui a attiré Patrick Bruel.
"Ce qui me plaît dans le personnage, c'est qu'il vient de l'Unité 8200, qui est spécialisée dans l'intelligence artificielle, le renseignement et l'analyse des données...
Il y a cette dimension un peu mentaliste, il est quelqu'un qui pense plusieurs coups à l'avance, comme au jeu d'échecs.
Il est plus qu'un homme de terrain, mais il en est quand même un avec une formation qu'il va bien sûr utiliser", explique l'acteur.
Espionnage, services secrets, une enquête de 72 heures, un "poisson hors de l'eau".
Je suis un poisson qui n'est pas dans son bocal car je suis un colonel de l'armée des services secrets israéliens et je n'ai pas vocation à enquêter sur le sol français, mais cette affaire nous concerne donc je vais devoir participer à cette enquête à ma manière".
La série, qui mêle thriller et espionnage, est réalisée par le talentueux Dan Sachar, déjà connu pour ses séries d'action israéliennes telles que "Fauda" et "Téhéran".
Elle est inspirée d'un roman de Dov Alfon, directeur de Libération et ancien officier de l'Unité 8200. Le livre a été légèrement modifié : l'agent israélien doit collaborer avec une commissaire de police française sur le sol français, interprétée par Natacha Lindinger.
"On s'est rencontrés lors de la première lecture", raconte Patrick Bruel.
"On est très heureux de se retrouver, on rit beaucoup.
C'est une excellente actrice et surtout elle est habituée au rythme des séries, ayant déjà joué dans plusieurs, et cela est très utile, surtout pour la continuité, savoir ce qui s'est passé dans le deuxième épisode lorsque nous sommes en train de tourner une scène du cinquième".
La série comprend six épisodes de 52 minutes et a nécessité 86 jours de tournage.
Ce n'est cependant pas le tournage le plus long de sa carrière.
"Le tournage le plus long était celui de "Jaguar", relate Patrick Bruel.
Il était censé durer 86 jours et a finalement duré 106 jours en Amazonie.
Demandez à Jean Reno ce qu'il en pense un jour", plaisante-t-il.
La scène se déroule à l'aéroport Charles-de-Gaulle.
Bruel incarne un ancien chef de cette unité d'espionnage israélienne de pointe.
Il se rend à Paris pour donner une conférence sur un logiciel qu'il a conçu et pour retrouver sa fille.
Cependant, un meurtre et un enlèvement le ramènent sur le terrain.
Il dispose de 72 heures pour éviter une catastrophe.
C'est ce projet qui a attiré Patrick Bruel.
"Ce qui me plaît dans le personnage, c'est qu'il vient de l'Unité 8200, qui est spécialisée dans l'intelligence artificielle, le renseignement et l'analyse des données...
Il y a cette dimension un peu mentaliste, il est quelqu'un qui pense plusieurs coups à l'avance, comme au jeu d'échecs.
Il est plus qu'un homme de terrain, mais il en est quand même un avec une formation qu'il va bien sûr utiliser", explique l'acteur.
Espionnage, services secrets, une enquête de 72 heures, un "poisson hors de l'eau".
Je suis un poisson qui n'est pas dans son bocal car je suis un colonel de l'armée des services secrets israéliens et je n'ai pas vocation à enquêter sur le sol français, mais cette affaire nous concerne donc je vais devoir participer à cette enquête à ma manière".
La série, qui mêle thriller et espionnage, est réalisée par le talentueux Dan Sachar, déjà connu pour ses séries d'action israéliennes telles que "Fauda" et "Téhéran".
Elle est inspirée d'un roman de Dov Alfon, directeur de Libération et ancien officier de l'Unité 8200. Le livre a été légèrement modifié : l'agent israélien doit collaborer avec une commissaire de police française sur le sol français, interprétée par Natacha Lindinger.
"On s'est rencontrés lors de la première lecture", raconte Patrick Bruel.
"On est très heureux de se retrouver, on rit beaucoup.
C'est une excellente actrice et surtout elle est habituée au rythme des séries, ayant déjà joué dans plusieurs, et cela est très utile, surtout pour la continuité, savoir ce qui s'est passé dans le deuxième épisode lorsque nous sommes en train de tourner une scène du cinquième".
La série comprend six épisodes de 52 minutes et a nécessité 86 jours de tournage.
Ce n'est cependant pas le tournage le plus long de sa carrière.
"Le tournage le plus long était celui de "Jaguar", relate Patrick Bruel.
Il était censé durer 86 jours et a finalement duré 106 jours en Amazonie.
Demandez à Jean Reno ce qu'il en pense un jour", plaisante-t-il.
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