Qui sera le prochain premier ministre du pays ? Alors que la campagne des législatives bat son plein, la gauche, rassemblée sous la bannière du «Nouveau Front populaire», se fracture depuis plusieurs jours sur le choix du profil qui pourrait aller à Matignon en cas de victoire les 30 juin et 7 juillet prochains.
Plusieurs personnalités, comme Jean-Luc Mélenchon ou le premier secrétaire du PS Olivier Faure ayant fait des offres de service, François Hollande, lui, tenu à donner sa vision.
Invité mercredi soir de BFMTV, le candidat dans la première circonscription de Corrèze, a dit «ne pas vouloir se mettre en avant» et «ne pas se placer» pour être chef de gouvernement. À découvrir Élections législatives 2024 : quels sont les candidats dans votre circonscription ? «J’essaye d’être utile en convainquant le maximum de Français de ne pas aller vers le Rassemblement national», a fait valoir l'ancien président de la République.
Quelle sera donc la place de François Hollande ? Il y a trois hypothèses, selon lui.
Le RN gagne : «Le rôle que je m’assigne, c’est de porter un discours de protection et de vigilance».
La gauche l’emporte : «Il faudra faire que son gouvernement puisse tenir bon.» Aucune majorité absolue ni relative ne se dégage : «C’est le rôle de personnalités comme la mienne, compte tenu des fonctions que j’ai occupées, de trouver des solutions.» Mélenchon, pas l’«homme du consensus» Quid du rôle de Jean-Luc Mélenchon, à qui l’ancien chef de l’État avait demandé de se «taire» pour «rendre service» à la gauche ? «Il n’est déjà plus dans le jeu, il essaye d’en être.
Mais il a été convenu qu’il ne pouvait plus être celui qui devait diriger, gouverner le pays», a cinglé François Hollande, qui ne le voit pas comme «l’homme du consensus».
«C’est ça qui est très différent par rapport à la Nupes.»
Plusieurs personnalités, comme Jean-Luc Mélenchon ou le premier secrétaire du PS Olivier Faure ayant fait des offres de service, François Hollande, lui, tenu à donner sa vision.
Invité mercredi soir de BFMTV, le candidat dans la première circonscription de Corrèze, a dit «ne pas vouloir se mettre en avant» et «ne pas se placer» pour être chef de gouvernement. À découvrir Élections législatives 2024 : quels sont les candidats dans votre circonscription ? «J’essaye d’être utile en convainquant le maximum de Français de ne pas aller vers le Rassemblement national», a fait valoir l'ancien président de la République.
Quelle sera donc la place de François Hollande ? Il y a trois hypothèses, selon lui.
Le RN gagne : «Le rôle que je m’assigne, c’est de porter un discours de protection et de vigilance».
La gauche l’emporte : «Il faudra faire que son gouvernement puisse tenir bon.» Aucune majorité absolue ni relative ne se dégage : «C’est le rôle de personnalités comme la mienne, compte tenu des fonctions que j’ai occupées, de trouver des solutions.» Mélenchon, pas l’«homme du consensus» Quid du rôle de Jean-Luc Mélenchon, à qui l’ancien chef de l’État avait demandé de se «taire» pour «rendre service» à la gauche ? «Il n’est déjà plus dans le jeu, il essaye d’en être.
Mais il a été convenu qu’il ne pouvait plus être celui qui devait diriger, gouverner le pays», a cinglé François Hollande, qui ne le voit pas comme «l’homme du consensus».
«C’est ça qui est très différent par rapport à la Nupes.»
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