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Un match emballant
On pourrait déplorer un premier acte à deux visages, mais soulignons la belle intensité mise d’abord par les Allemands en début de match.
Les hommes de Nagelsmann ont manqué d’efficacité - malgré le but refusé de Schlotterbeck - mais ont placé quelques alertes sur le but de Kasper Schmeichel dans les vingt premières minutes.
Musiala, Havertz ou encore Kroos ont d’abord essayé, avant de trouver la faille en seconde période.
Les Danois se sont réveillés, et par l’intermédiaire de Maelhe et Eriksen, les occasions se sont accumulées sur le but de Neuer.
Mais eux, aussi, ont manqué d’être efficaces.
L’interruption, à cause de l’orage, n’a pas baissé l’intensité des vingt-deux acteurs.
La deuxième mi-temps, elle, a été tout aussi emballante que la première et a vu l’Allemagne montrer sa supériorité. Havertz et Schlotterbeck, des menaces permanentes Un défenseur central à l’offensive.
Nico Schlotterbeck, joueur de Dortmund, a été une menace permanente sur corner et a donné une passe décisive à Musiala sur le second but.
Kai Havertz, lui, l’a été dans plusieurs compartiments du jeu.
D’abord du pied gauche, puis de la tête et dans les combinaisons de passes.
Une partition qui donne raison à Nagelsmann, alors que le joueur d’Arsenal avait raté ses deux dernières sorties, mais son activité du soir méritait un but.
Il lui manque encore la capacité de tueur de Füllkrug, et cela pourrait lui porter défaut pour la suite de la compétition.
On l’a encore vu dans ce face-à-face avec Schmeichel en deuxième période, où son ballon piqué a terminé au ras du poteau danois.
Heureusement pour lui, il a réussi son penalty pour emmener l’Allemagne en quarts de finale et dans un, deux ou dix ans, on se souviendra que de ça. Manuel Neuer, la muraille efficace Il a écœuré tout le monde.
Holjund, Eriksen et les autres.
Il faut se souvenir d’où il vient.
Déjà ultra-décisif contre la Hongrie (2-0) lors du deuxième match de poules, il a encore montré aux septiques qu’il était revenu à son meilleur niveau et au meilleur des moments.
Il n’a laissé aucune chance aux deux pauvres tirs cadrés danois, s’est montré très intelligent et vif pour sauver les siens lors d’une sortie face à Hojlund.
Une action qui aurait pu faire basculer la rencontre du mauvais côté, mais heureusement pour les Allemands, Neuer a laissé les siens dans la course et les attaquants ont enfin pu en profiter derrière. À lire aussiEuro 2024 : l’Allemagne s’impose face au Danemark après une bonne seconde période et rejoint les quarts de finale FLOPS Rasmus Hojlund pas à la hauteur L’attaquant de Manchester United n’a pas assez existé, samedi soir (21h), lors du huitième de finale face à l’Allemagne (2-0).
Aligné à la pointe de l’attaque danoise, il a d’abord été fantomatique avant l’interruption - pour un orage trop violent au-dessus de Dortmund - puis il a été maladroit lors des deux opportunités qui ont suivi.
Le face-à-face avec Neuer, juste avant la pause, devrait lui rester dans la tête pendant longtemps, tout comme son occasion du pied gauche en deuxième mi-temps où il n’a pas su remettre les deux équipes à égalité. Andersen le malheureux Que c’est dur ! L’ex-défenseur de l’OL a fait presque le match parfait et pourtant, c’est lui qui a condamné indirectement les Danois à rentrer à Copenhague après la rencontre.
D’abord buteur, sa réalisation a été refusée à cause de la pointure trop élevée de son coéquipier Delaney, signalé hors-jeu.
Sur l’action qui a suivi, le numéro 2 a manqué d’enlever son bras sur le centre de Raum.
Il a donné la possibilité aux Allemands d’ouvrir le score et de s’envoler ensuite.
Les hommes de Nagelsmann ont manqué d’efficacité - malgré le but refusé de Schlotterbeck - mais ont placé quelques alertes sur le but de Kasper Schmeichel dans les vingt premières minutes.
Musiala, Havertz ou encore Kroos ont d’abord essayé, avant de trouver la faille en seconde période.
Les Danois se sont réveillés, et par l’intermédiaire de Maelhe et Eriksen, les occasions se sont accumulées sur le but de Neuer.
Mais eux, aussi, ont manqué d’être efficaces.
L’interruption, à cause de l’orage, n’a pas baissé l’intensité des vingt-deux acteurs.
La deuxième mi-temps, elle, a été tout aussi emballante que la première et a vu l’Allemagne montrer sa supériorité. Havertz et Schlotterbeck, des menaces permanentes Un défenseur central à l’offensive.
Nico Schlotterbeck, joueur de Dortmund, a été une menace permanente sur corner et a donné une passe décisive à Musiala sur le second but.
Kai Havertz, lui, l’a été dans plusieurs compartiments du jeu.
D’abord du pied gauche, puis de la tête et dans les combinaisons de passes.
Une partition qui donne raison à Nagelsmann, alors que le joueur d’Arsenal avait raté ses deux dernières sorties, mais son activité du soir méritait un but.
Il lui manque encore la capacité de tueur de Füllkrug, et cela pourrait lui porter défaut pour la suite de la compétition.
On l’a encore vu dans ce face-à-face avec Schmeichel en deuxième période, où son ballon piqué a terminé au ras du poteau danois.
Heureusement pour lui, il a réussi son penalty pour emmener l’Allemagne en quarts de finale et dans un, deux ou dix ans, on se souviendra que de ça. Manuel Neuer, la muraille efficace Il a écœuré tout le monde.
Holjund, Eriksen et les autres.
Il faut se souvenir d’où il vient.
Déjà ultra-décisif contre la Hongrie (2-0) lors du deuxième match de poules, il a encore montré aux septiques qu’il était revenu à son meilleur niveau et au meilleur des moments.
Il n’a laissé aucune chance aux deux pauvres tirs cadrés danois, s’est montré très intelligent et vif pour sauver les siens lors d’une sortie face à Hojlund.
Une action qui aurait pu faire basculer la rencontre du mauvais côté, mais heureusement pour les Allemands, Neuer a laissé les siens dans la course et les attaquants ont enfin pu en profiter derrière. À lire aussiEuro 2024 : l’Allemagne s’impose face au Danemark après une bonne seconde période et rejoint les quarts de finale FLOPS Rasmus Hojlund pas à la hauteur L’attaquant de Manchester United n’a pas assez existé, samedi soir (21h), lors du huitième de finale face à l’Allemagne (2-0).
Aligné à la pointe de l’attaque danoise, il a d’abord été fantomatique avant l’interruption - pour un orage trop violent au-dessus de Dortmund - puis il a été maladroit lors des deux opportunités qui ont suivi.
Le face-à-face avec Neuer, juste avant la pause, devrait lui rester dans la tête pendant longtemps, tout comme son occasion du pied gauche en deuxième mi-temps où il n’a pas su remettre les deux équipes à égalité. Andersen le malheureux Que c’est dur ! L’ex-défenseur de l’OL a fait presque le match parfait et pourtant, c’est lui qui a condamné indirectement les Danois à rentrer à Copenhague après la rencontre.
D’abord buteur, sa réalisation a été refusée à cause de la pointure trop élevée de son coéquipier Delaney, signalé hors-jeu.
Sur l’action qui a suivi, le numéro 2 a manqué d’enlever son bras sur le centre de Raum.
Il a donné la possibilité aux Allemands d’ouvrir le score et de s’envoler ensuite.
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